Tessa Worley à la UNE du magazine n°25

Au sommaire de ce tout nouveau numéro du magazine, avec Tessa WORLEY en Une :

 

En Une : Tessa WORLEY. La rupture des ligaments croisés du genou, un cliché fréquemment invoqué par des artistes en mal de carrière sportive, est LA blessure emblématique de tout (très) bon·ne skieur·se qui se respecte. Sans surprise, Tessa Worley, jeune retraitée et star des sommets, a franchi les redoutables étapes de l’hôpital et de la rééducation au cours de sa carrière. Trois fois. Pour en revenir plus forte et plus sereine. La « Puce » savoyarde qui a grandi à Mount Lyford en Nouvelle-Zélande, où elle a chaussé des skis à l’âge de 17 mois pour ne plus jamais les quitter, couve désormais d’autres projets.

 

 

Et d’autres sujets parmi lesquels :

 

• Sportives entrepreneures :
  • • Alors qu’elle n’était encore qu’étudiante, Coralie Gassama, coureuse de 400 m haies, a monté son propre commerce de semelles de protection de pointes. Une aventure entrepreneuriale dans laquelle elle s’investit pleinement aujourd’hui sous l’accompagnement du programme Palatine Women Project.
    • Depuis le début de l’année 2023, l’escrimeuse Margaux Rifkiss mène de front le développement de son entreprise, Escrime EHPAD, et sa carrière sportive. Elle espère notamment se qualifier pour les Jeux olympiques de Paris l’été prochain.
• Depuis quatre ans, Cléo Hénin donne la parole aux actrices du sport dans son podcast Championnes du Monde autour de sujets comme la santé mentale ou le retour de blessures. La saison dernière, pour la première fois, Kseniya Moustafaeva et Claire Palou ont témoigné des violences psychologiques et sexuelles subies et de leur impact sur leur carrière. Des échanges que la journaliste a préparés avec une attention toute particulière.
• Sportive FDJ : Émeline Pierre, qui s’apprête à vivre ses deuxièmes Jeux paralympiques à Paris en 2024, a plongé dans la natation handisport
  par défaut, mais avec passion.

À l’heure du tout numérique, on pourrait croire que tout ce qui est imprimé devient automatiquement has been. Mais les aficionados du bruissement des pages que l’on tourne et des doigts qui caressent le papier glacé sont encore nombreux·ses. La preuve ?
Depuis l’été dernier, trois nouveaux magazines se sont lancés dans le grand bal de la presse sportive. Ces titres ont comme dénominateur commun de considérer les athlètes féminines à leur juste valeur : DNAH, BADASS, TRUST. 

En collectif : La saison estivale bat son plein, début août, quand la discrète Fédération française d’échecs (FFE) se retrouve au cœur de l’actualité sportive. Quatorze de ses meilleures joueuses dénoncent les violences sexistes et sexuelles qu’elles subissent via une lettre publique afin de rompre l’omerta. Une démarche nécessaire face à l’inaction d’une fédération encore timorée sur les réponses apportées.